Sidi Wacho et Komasi en concert au Tamanoir
Racines rap, hip-hop et world, influences latino, balkaniques ou africaines, mélodies hyper-entraînantes et pour Sidi Wacho des textes corrosifs et engagés.
Sidi Wacho et Komasi au Tamanoir de Gennevilliers : à la croisée des continents
- Sidi Wacho, le latino-rap teinté de mélodies balkaniques aux rythmes irrésistibles
- Des textes corrosifs, travaillés et surtout très engagés
- Komasi, l'Europe rencontre l'Afrique et l'Amérique du Sud
On a découvert Sidi Wacho, et on le passe en boucle !
Mélange unique : base latino, accordéon balkanique, voix rap en espagnol ou en français, dans des enchaînements de rythmes festifs et addictifs. Ils sont originaires de Roubaix, de Valparaiso du Chili et de Panama City, mais ils revendiquent haut et fort qu’ils sont partout chez eux. Deux chanteurs, un percussionniste et un accordéoniste produisent une musique très élaborée, équilibrée et archi-entraînante !
Des textes cash et très engagés
On n'est pas obligés d'être d'accord sur tout, mais on ne peut qu'admirer le travail sur les textes de Sidi Wacho. Très ancrés dans l'actualité, ils dénoncent les excès du capitalisme, les écarts de richesse, le populisme, le pouvoir des médias, les violences policières ou encore la colonisation ou le pillage des ressources natuelles des pays pauvres. C'est aussi l'envie d'être la voix des plus modestes, dans une envie de rébellion affirmée.
" Mala hierba nunca muere (Les mauvaises herbes ne meurent jamais) "
Komani, cumbia colombienne et afrobeat psychédélique
Komasi mélange trois continents, trois cultures et trois univers. L’Afrique avec le burkinabé Koto Brawa, son incroyable voix chaude et ses percussions, promesses de transe mystique. L’Amérique du Sud avec le chilien Mauricio Santana, sa guitare aux rythmiques latines et son rap en espagnol aux airs de Manu Chao. L’Europe avec le français Simon Chenet, sa moustache et sa terrible guitare swing au groove «feel-good».