Aurélien Hamard-Padis monte au Studio-Théâtre de la Comédie-Française "Le Moche", une comédie de Marius von Mayenburg sur le conformisme et la dictature de l'apparence.

La Comédie-Française reprend la mise en scène délicate de Clément Hervieu-Léger pour La Cerisaie de Tchekhov. Peut-être la pièce la plus juste et bouleversante de l'auteur, entre humour et fatalité.

Matthieu Crucinani propose au Théâtre Gérard Philipe une Phèdre de Racine viscérale et magistralement interprétée, dans une scénographie de fin de règne.

Avec "La Peur", François Hien propose au Théâtre de la Tempête un texte ciselé, puissant et nuancé qui accompagne le parcours d'apaisement d'un jeune prêtre tourmenté par le remords, le doute et un amour interdit.

Au Théàtre Montparnasse, Laure Calamy est la protagoniste de Peau d'Homme, un conte musical plein d'humour qui aborde les thèmes du genre, de l'identité et de la liberté.

Au Théâtre Hébertot, Pierre Arditi et Ludmila Mikaël incarnent subtilement l'injustice d'un Prix Nobel, mais aussi l'histoire d'une relation de 30 ans pleine de secrets entre deux scientifiques de renom.

Au Théâtre de la Porte Saint-Martin, reprise des Idoles de Christophe Honoré. Une pièce inoubliable, drôle et crépusculaire, parcourue de moments de grâce.

Le chef d’œuvre de Shakespeare est une pièce féerique, d’une grande modernité, où se mêlent passions ardentes et enchantements magiques. Au-delà des intrigues amoureuses, une exploration des tensions qui viennent de l’inconscient.

Au Théâtre de l'Atelier, Johanny Bert propose une version onirique de Juste la fin du monde de Jean-Luc Lagarce avec une belle distribution, notamment Vincent Dedienne.

Dans Lacrima à l'Odéon, Caroline Guiela Nguyen offre une réflexion profonde sur le savoir-faire artisanal et les histoires intimes qui se tissent derrière chaque création d'exception.