La Maison du loup au Théâtre Rive Gauche
Comment le grand écrivain Jack London, en panne d'inspiration, retrouve l'impulsion créative grâce à la rencontre avec un ex-prisonnier au parcours extraordinaire. Nouveau succès pour Benoît Solès, l'auteur de La Machine de Turing.
Benoît Solès texte
Tristan Petitgirard mise en scène
Avec Benoît Solès, Amaury de Crayencour, Anne Plantey
La Maison du loup au Théâtre Rive Gauche
- Nouveau succès de Benoît Solès, l'auteur de La Marchine de Turing multi-primé aux Molières
- Il y est question d’amour, d’idéaux, de révolte, d’instinct de survie et de l'étincelle créatrice
- Intensité hypnotique et atmosphère explosive de la mise en scène
- Des comédiens impeccables et saisissants
L'intrigue
En panne d'inspiration, Jack London sombre dans l'alcoolisme et se réfugie dans sa grande propriété à la montagne, la Maison du loup. Pour l'aider à retrouver sa créativité, sa compagne Charmian lui fait rencontrer Ed Morrell, un ex-délinquant qui sort de prison après quinze années d'incarcération, dont cinq ans en isolement total. En captivité, il apprend d'un co-détenu une technique d’autohypnose lui permettant de « quitter son corps » pour entreprendre un véritable voyage mental. La rencontre explosive permettra au grand auteur américain de retrouver l'inspiration pour son dernier roman, Le Vagabond des étoiles...
Le pouvoir de la création
La pièce aborde, au-delà des tourments personnels, des sujets passionnants : le pouvoir de la création, les idéaux de révolte, la résistance à toutes les formes d’oppression et d’aliénation. Benoît Solès veut aussi évoquer dans ce conte des sujets de société contemporains : la peine de mort, les violences policières, la place des femmes.
" Jack London était un écrivain engagé, un aventurier intrépide, un explorateur de l’âme humaine. " Benoît Solès
Benoît Solès
Né à Agen en 1972, Benoît Solès fait des études de théâtre et devient comédien et dramaturge. Il joue au théâtre, mais aussi dans un certain nombre de séries télévisées. Il décide de se consacrer à l'écriture théâtrale. La Machine de Turing lui vaut le Molière du meilleur auteur et du meilleur comédien.
La Presse en parle
" Coup de coeur. Fort bien écrit, fort bien joué. Captivant. " Le Figaro
" Un texte limpide et dense, trois comédiens impeccables. " Le Journal du dimanche
" Amaury de Crayencour est idéal et impressionnant en London bourru et alcoolique. Benoit Solès endosse le rôle tout en intériorité d’Ed, s’offrant un morceau de bravoure saisissant. " Le Parisien